L'Ivrogne Corrigé
De Glück à Brel et Nougaro... Rien que pour le plaisir !
Associer Gluck, le compositeur d’Orphée, Alceste ou Iphigénie, avec l’opéra-comique des foires parisiennes est inattendu. En 1759, L’Ivrogne Corrigé est créé à l’Opéra-Comique. Comme dans les foires, les airs de Gluck sont entrecoupés de scènes parlées et de chansons à la mode à reprendre par l’assistance. Nous avons décidé de faire renaître le procédé et de remplacer les « vaudevilles » originaux tombés dans l’oubli, par des « tubes » que nos spectateurs pourront fredonner comme l’ont fait leurs prédécesseurs du XVIIIème siècle.
Synopsis
« Chacun a son défaut où toujours il revient... » (La Fontaine, l’Ivrogne et sa femme)
Mathurin et son ami Lucas s’enivrent du soir au matin. Lucas désire épouser Colette, la jeune nièce de Mathurin. Ce dernier, les idées embrumées par l’alcool, donne son accord. Mais, comble de malheur, la jeune fille est amoureuse du beau Cléon! Avec l’aide de quelques amis, l’épouse de Mathurin imagine un stratagème astucieux pour permettre aux deux tourtereaux de se marier et punir nos deux barbons de leur penchant pour le vin... Elle convoque le Diable en personne... Ici, rien n’est sérieux, ni les malheurs de Colette, ni la descente aux enfers de Lucas et Mathurin, ni la rédemption des deux ivrognes.
Développement
Le public passait ainsi sans souci de musiques savantes et raffinées, aux musiques rythmées et à la mode. Ces « vaudevilles » transforment l’univers conventionnel de Gluck et nous transportent dans un monde burlesque.
La presse en parle
Distribution
Tournées
Coproduction avec La Péniche-Opéra et Opera Zuid en 2011 et 2012
Repris à l’Opéra de Paris Bastille
Tournée des festivals de Bretagne
Et théâtres des Pays-Bas en 2011